La légèreté est-elle encore possible dans le monde qui nous entoure ? Empruntant à la forme poétique du rondeau, un quatuor de danseurs compose un puzzle chorégraphique baroque plein de grâce et de vivacité.
C’est pour nous montrer toute la modernité du langage baroque que la chorégraphe Béatrice Massin le réinterprète à la lumière de la danse contemporaine. Trois hommes et une femme reproduisent sur scène un refrain, s’avancent, repartent, s’élancent, au son de musiques « pas forcément baroques, voire pas baroques du tout » ! Avec une grande subtilité, Béatrice Massin tisse un dialogue captivant entre deux esthétiques qui se nourrissent l’une l’autre.
« Quels jeux de groupe, « de société », font acte contre la grisaille de notre environnement, contre la pauvreté et l’amertume de nos quotidiens ? » s’interroge Béatrice Massin. C’est en mêlant les deux univers que la compagnie Fêtes Galantes entreprend ici de décloisonner les disciplines, d’offrir au public un moment de « divertissement » au sens le plus noble du terme. Solos, duos, trios s’enchaînent, portés par la structure entêtante du rondeau, pour une parenthèse hors du temps. Amateurs d’opéra baroque et férus de danse contemporaine, l’heure de la réconciliation a sonné !
La légèreté est-elle encore possible dans le monde qui nous entoure ? Empruntant à la forme poétique du rondeau, un quatuor de danseurs compose un puzzle chorégraphique baroque plein de grâce et de vivacité.
C’est pour nous montrer toute la modernité du langage baroque que la chorégraphe Béatrice Massin le réinterprète à la lumière de la danse contemporaine. Trois hommes et une femme reproduisent sur scène un refrain, s’avancent, repartent, s’élancent, au son de musiques « pas forcément baroques, voire pas baroques du tout » ! Avec une grande subtilité, Béatrice Massin tisse un dialogue captivant entre deux esthétiques qui se nourrissent l’une l’autre.