« Un cheval pour démarrer un spectacle, ça change. » Et comment ! Juché sur un (in)fidèle destrier, Alex Lutz revient avec un deuxième seul-en-scène burlesque et hilarant, détricotant avec humour les fragilités de l’espèce humaine.
Une entrée volontairement chaotique, de réjouissants souvenirs de jeunesse, une recette de carbonara prétexte à pointer les difficultés de la vie en couple…
De cette société qui nous pousse à être toujours plus performants, l’inclassable humoriste dresse un portrait sensible et grinçant. Un spectacle survolté et joliment foutraque, au final surprenant !
Comment se surpasser après un premier spectacle, et continuer à faire glousser des salles entières ? Une question que se pose tout humoriste sachant faire rire. Alex Lutz ne fait pas exception, et renverse ici cette inquiétude à son avantage. A la manière d’un archéologue de la rigolade, il plonge tête la première dans la préhistoire de l’humour. D’anecdotes en confidences d’adolescent, l’anti-performeur remonte à la genèse du premier rire, interrogeant ce réflexe primitif qui définit notre humanité.
« Un cheval pour démarrer un spectacle, ça change. » Et comment ! Juché sur un (in)fidèle destrier, Alex Lutz revient avec un deuxième seul-en-scène burlesque et hilarant, détricotant avec humour les fragilités de l’espèce humaine.
Une entrée volontairement chaotique, de réjouissants souvenirs de jeunesse, une recette de carbonara prétexte à pointer les difficultés de la vie en couple…
De cette société qui nous pousse à être toujours plus performants, l’inclassable humoriste dresse un portrait sensible et grinçant. Un spectacle survolté et joliment foutraque, au final surprenant !