la saison les spectacles

sam. 23 sept.  18H00
Petit théâtre
1h

Résumé


Autrice, compositrice, guitariste et chanteuse, Gabi Hartmann est LA révélation jazz de l’année. Nourrie d’influences latines, de folk, de pop ou de soul, cette artiste globe-trotteuse nous embarque dans un véritable périple musical.

Repérée par le songwriter et producteur Jesse Harris (qui a écrit des chansons pour Melody Gardot, Lana del Rey et Norah Jones, notamment), la chanteuse parisienne a conçu son premier album comme un carnet de voyage, en s’inspirant de ses pérégrinations et en captant de nombreuses influences musicales. Quatorze titres chatoyants comme autant de cartes postales qu’elle interprète en français, en anglais, en portugais et en arabe, accompagnée par des musiciens rencontrés à Paris et à New York, où elle a vécu il y a quelques années. De sa voix de velours mêlant mélancolie et douceur, Gabi Hartmann y aborde, avec une plume légère et sophistiquée à la fois, des thèmes très personnels comme l’erreur ou l’errance mais aussi plus politiques avec La Mer, sur le sort des migrants en Méditerranée. Un petit bijou qui s’est hissé en tête du classement des meilleures ventes d’albums de jazz en France.

Durant ses études de philosophie, de sciences politiques et d’ethnomusicologie, Gabi Hartmann a voyagé au Brésil et en Afrique du Sud et est tombée sous le charme, notamment, du jazz africain. Elle pratique le jazz au Conservatoire de Paris et chante aussi dans un trio de musique brésilienne, Trio Zelas. En 2018, sa rencontre avec le guitariste, compositeur et producteur Jesse Harris marque un tournant : la musique sera son métier. Après avoir fait salle comble par effet de bouche-à-oreille dans les clubs de jazz parisiens de la rue des Lombards, Gabi Hartmann s’est révélée ces dernières années en assurant les premières parties de Jamie Cullum et Melody Gardot. Paru en janvier 2023, son premier album éponyme, conçu en étroite collaboration avec Jesse Harris, conjugue fraîcheur et maîtrise formelle.

Résumé


Autrice, compositrice, guitariste et chanteuse, Gabi Hartmann est LA révélation jazz de l’année. Nourrie d’influences latines, de folk, de pop ou de soul, cette artiste globe-trotteuse nous embarque dans un véritable périple musical.

Repérée par le songwriter et producteur Jesse Harris (qui a écrit des chansons pour Melody Gardot, Lana del Rey et Norah Jones, notamment), la chanteuse parisienne a conçu son premier album comme un carnet de voyage, en s’inspirant de ses pérégrinations et en captant de nombreuses influences musicales. Quatorze titres chatoyants comme autant de cartes postales qu’elle interprète en français, en anglais, en portugais et en arabe, accompagnée par des musiciens rencontrés à Paris et à New York, où elle a vécu il y a quelques années. De sa voix de velours mêlant mélancolie et douceur, Gabi Hartmann y aborde, avec une plume légère et sophistiquée à la fois, des thèmes très personnels comme l’erreur ou l’errance mais aussi plus politiques avec La Mer, sur le sort des migrants en Méditerranée. Un petit bijou qui s’est hissé en tête du classement des meilleures ventes d’albums de jazz en France.



Production Asterios Spectacle

Production Asterios Spectacle

En savoir plus


Gabi Hartmann apporte au jazz une histoire musicale personnelle en devenir, mais déjà touffue. Enfance et famille parisienne écoutant à la fois de la chanson, du rock et des musiques de partout. Piano classique jusqu’à quatorze ans, lorsqu’elle l’échange contre la guitare de son frère pour écrire des chansons. Le jazz surgit en rewind après sa découverte d’Amy Winehouse et de ses reprises d’Ella, Sinatra ou Nat King Cole. Elle prend des cours de jazz à la Schola Cantorum puis au Conservatoire, fait un détour par la musique brésilienne en vivant deux ans à Rio de Janeiro, puis enchaîne avec une année d’ethnomusicologie à Londres, pour ensuite rentrer de nouveau à Paris pour entrelacer des projets en dix genres et trois langues.

En savoir plus


Gabi Hartmann apporte au jazz une histoire musicale personnelle en devenir, mais déjà touffue. Enfance et famille parisienne écoutant à la fois de la chanson, du rock et des musiques de partout. Piano classique jusqu’à quatorze ans, lorsqu’elle l’échange contre la guitare de son frère pour écrire des chansons. Le jazz surgit en rewind après sa découverte d’Amy Winehouse et de ses reprises d’Ella, Sinatra ou Nat King Cole. Elle prend des cours de jazz à la Schola Cantorum puis au Conservatoire, fait un détour par la musique brésilienne en vivant deux ans à Rio de Janeiro, puis enchaîne avec une année d’ethnomusicologie à Londres, pour ensuite rentrer de nouveau à Paris pour entrelacer des projets en dix genres et trois langues.


Petit théâtre
1h

  • sam. 23 septembre
    18H00

Revue de presse

En images