la saison les spectacles

En raison du mouvement social national interprofessionnel du 7 mars, la représentation de Café Libertà ne pourra avoir lieu. 
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mar. 7 mars  20H30
Grand Théâtre
1h20 sans entracte
réservation
bientôt
disponible

Résumé


Qui eut cru qu’au XVIIIe siècle l’histoire du café et celle des mœurs allaient de pair ? Car le café ne fut pas toujours la boisson banalisée qu’elle est aujourd’hui. Avec Café Libertà, le chef d’orchestre Jérôme Correas et la chorégraphe Ambra Senatore s’emparent de cette histoire grâce aux cantates pleines d’humour et de fantaisie de Jean-Sébastien Bach et de Nicolas Bernier.

Le café est entré sur le Vieux Continent au XVIe siècle. Aujourd’hui boisson du quotidien, le café a d’abord symbolisé liberté et émancipation des femmes, comme le raconte la Cantate du café de Jean-Sébastien Bach, tandis que Nicolas Bernier prête dans sa cantate des vertus d’inspiration à ce délicieux breuvage amer. Deux visions laudatives que se réapproprient avec humour Jérôme Correas et Les Paladins avec la chorégraphe Ambra Senatore. Dans Café Libertà, l’arôme du caoua réunira dans ses volutes sensuels le langage de la musique et celui des corps.

La Cantate du café est l’une des rares cantates profanes de Bach. Adaptée d’un poème de l’Allemand Picander, elle met en scène la rébellion d’une jeune fille contre son père. Celui-ci tente désespérément de lui interdire la consommation de cette divine potion dont elle ne saurait se passer : « Si je ne peux pas boire ma tasse de café trois fois par jour, alors dans mon tourment, je vais me recroqueviller comme un morceau de chevreau rôti ! ».

De son côté, le Français Nicolas Bernier décrit l’inspiration poétique et la liberté virtuelle que procure le café, passeport vers les mondes parallèles de la création artistique, boisson supérieure encore au vin !



Résumé


Qui eut cru qu’au XVIIIe siècle l’histoire du café et celle des mœurs allaient de pair ? Car le café ne fut pas toujours la boisson banalisée qu’elle est aujourd’hui. Avec Café Libertà, le chef d’orchestre Jérôme Correas et la chorégraphe Ambra Senatore s’emparent de cette histoire grâce aux cantates pleines d’humour et de fantaisie de Jean-Sébastien Bach et de Nicolas Bernier.

Le café est entré sur le Vieux Continent au XVIe siècle. Aujourd’hui boisson du quotidien, le café a d’abord symbolisé liberté et émancipation des femmes, comme le raconte la Cantate du café de Jean-Sébastien Bach, tandis que Nicolas Bernier prête dans sa cantate des vertus d’inspiration à ce délicieux breuvage amer. Deux visions laudatives que se réapproprient avec humour Jérôme Correas et Les Paladins avec la chorégraphe Ambra Senatore. Dans Café Libertà, l’arôme du caoua réunira dans ses volutes sensuels le langage de la musique et celui des corps.


Générique


Direction musicale Jérôme Correas / Chorégraphie et mise en espace Ambra Senatore / Création lumières Laurent Fallot / Avec Léa Bellili et Louise Roulleau sopranos, Jean-François Lombard ténor, Mattieu Heim basse, Caterina Basso, Claudia Catarzi, Matteo Ceccarelli et Ambra Senatore danse et Les Paladins, direction Jérôme Correas, Clémence Bourgeois flûte, Claire Sottovia 1er violon, Yuna Lee, Sophie Dutoit et Izleh Henry vilon 1, Clara Muhlethaler, Sophie Iwamura et Saori Furakawa violon 2, Benoït Bursztejn et Martha Moore alto, Nicolas Crnjanski et Sarah Aguessy viloncelle, Franck Ratajczzyk contrebasse, Samuel Crowther clavecin
Production Les Paladins, direction Jérôme Correas / Coproduction Centre Chorégraphique National de Nantes, Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines - Scène nationale, Opéra de Massy / Résidence de création à La Briquèterie et au Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines / Avec le soutien de l’Adami et de la Spedidam / Mécénat Fondation Malongo / Les Paladins sont soutenus par le Ministère de la Culture (Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Île-de-France), le Conseil régional d’Île-de-France et les Conseils départementaux de l’Essonne et du Val de Marne / Les Paladins sont en résidence au Théâtre de Corbeil-Essonnes et en résidence territorial à d’Ivry-sur-Seine avec le Conservatoire municipal de musique et de danse ; ils sont artistes associés au Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Scène Nationale, à l’Opéra de Massy et à la Fondation Singer-Polignac / Le Centre Chorégraphique National de Nantes est subventionné par l’État – Préfet de la région Pays de la Loire – Direction Régionale des Affaires Culturelles, la Ville de Nantes, le Conseil Régional des Pays de La Loire et le Département de Loire-Atlantique / Phtos et visuel ©Graphiso, Bastien Capela, Florence Levillain et Viola Berlanda

Générique


Direction musicale Jérôme Correas / Chorégraphie et mise en espace Ambra Senatore / Création lumières Laurent Fallot / Avec Léa Bellili et Louise Roulleau sopranos, Jean-François Lombard ténor, Mattieu Heim basse, Caterina Basso, Claudia Catarzi, Matteo Ceccarelli et Ambra Senatore danse et Les Paladins, direction Jérôme Correas, Clémence Bourgeois flûte, Claire Sottovia 1er violon, Yuna Lee, Sophie Dutoit et Izleh Henry vilon 1, Clara Muhlethaler, Sophie Iwamura et Saori Furakawa violon 2, Benoït Bursztejn et Martha Moore alto, Nicolas Crnjanski et Sarah Aguessy viloncelle, Franck Ratajczzyk contrebasse, Samuel Crowther clavecin
Production Les Paladins, direction Jérôme Correas / Coproduction Centre Chorégraphique National de Nantes, Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines - Scène nationale, Opéra de Massy / Résidence de création à La Briquèterie et au Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines / Avec le soutien de l’Adami et de la Spedidam / Mécénat Fondation Malongo / Les Paladins sont soutenus par le Ministère de la Culture (Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Île-de-France), le Conseil régional d’Île-de-France et les Conseils départementaux de l’Essonne et du Val de Marne / Les Paladins sont en résidence au Théâtre de Corbeil-Essonnes et en résidence territorial à d’Ivry-sur-Seine avec le Conservatoire municipal de musique et de danse ; ils sont artistes associés au Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Scène Nationale, à l’Opéra de Massy et à la Fondation Singer-Polignac / Le Centre Chorégraphique National de Nantes est subventionné par l’État – Préfet de la région Pays de la Loire – Direction Régionale des Affaires Culturelles, la Ville de Nantes, le Conseil Régional des Pays de La Loire et le Département de Loire-Atlantique / Phtos et visuel ©Graphiso, Bastien Capela, Florence Levillain et Viola Berlanda

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Jérôme Correas, pianiste depuis l’âge de 5 ans fonde Les Paladins en 2001 (en hommage à l'œuvre du même nom de Jean-Philippe Rameau) et revisite avec cet ensemble vocal et instrumental un répertoire d’œuvres lyriques. La troupe invite pour la première fois la chorégraphe italienne Ambra Sanatore, à la tête du Centre National Chorégraphique de Nantes depuis 2016. Café Liberta est le fruit d’un travail plein d’humour et de sensualité autour de cette boisson plus énigmatique qu’il n’y paraît.

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Jérôme Correas, pianiste depuis l’âge de 5 ans fonde Les Paladins en 2001 (en hommage à l'œuvre du même nom de Jean-Philippe Rameau) et revisite avec cet ensemble vocal et instrumental un répertoire d’œuvres lyriques. La troupe invite pour la première fois la chorégraphe italienne Ambra Sanatore, à la tête du Centre National Chorégraphique de Nantes depuis 2016. Café Liberta est le fruit d’un travail plein d’humour et de sensualité autour de cette boisson plus énigmatique qu’il n’y paraît.


Grand Théâtre
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