la saison les spectacles

ven. 10 févr.  20H30
Grand Théâtre
1h15 sans entracte

Résumé


L’Orchestre National de Jazz s’entoure de 3 brillantes compositrices pour revisiter, avec fougue et enthousiasme, tout un pan musical de ce que l’on appelait, dans les années 70, le rock progressif. Une réjouissante odyssée musicale, de Pink Floyd à Genesis en passant par King Crimson et Magma !

Frame by frame, « image par image », se présente comme une relecture du rock progressif à travers le prisme du jazz, son proche cousin. Aux côtés de l’ONJ et de son directeur artistique Frédéric Maurin, Airelle Besson, Sarah Murcia et Sylvaine Hélary, elles-mêmes très inspirées par cet univers sonore unique, seront aux commandes d’une exploration exceptionnelle.
Le rock progressif entretient des rapports particuliers avec le jazz. Ce genre, qui trouve ses origines dans la musique psychédélique, s’éloigne du rock sous sa forme la plus populaire pour chercher des sonorités nouvelles. Sa composition s’apparente sur certains points à la musique orchestrale. Le « rock prog », comme on dit, atteint son apogée dans les années 70, avec des groupes devenus cultes comme Pink Floyd, Genesis, King Crimson, Soft Machine, Jethro Tull, Magma voire même Supertramp. Un terrain de jeu idéal pour les musiciennes et les musiciens de l’ONJ.

Résumé


L’Orchestre National de Jazz s’entoure de 3 brillantes compositrices pour revisiter, avec fougue et enthousiasme, tout un pan musical de ce que l’on appelait, dans les années 70, le rock progressif. Une réjouissante odyssée musicale, de Pink Floyd à Genesis en passant par King Crimson et Magma !

Frame by frame, « image par image », se présente comme une relecture du rock progressif à travers le prisme du jazz, son proche cousin. Aux côtés de l’ONJ et de son directeur artistique Frédéric Maurin, Airelle Besson, Sarah Murcia et Sylvaine Hélary, elles-mêmes très inspirées par cet univers sonore unique, seront aux commandes d’une exploration exceptionnelle.
Le rock progressif entretient des rapports particuliers avec le jazz. Ce genre, qui trouve ses origines dans la musique psychédélique, s’éloigne du rock sous sa forme la plus populaire pour chercher des sonorités nouvelles. Sa composition s’apparente sur certains points à la musique orchestrale. Le « rock prog », comme on dit, atteint son apogée dans les années 70, avec des groupes devenus cultes comme Pink Floyd, Genesis, King Crimson, Soft Machine, Jethro Tull, Magma voire même Supertramp. Un terrain de jeu idéal pour les musiciennes et les musiciens de l’ONJ.


Générique


Arrangements Airelle Besson, Sylvaine Hélary, Sarah Murcia, Frédéric Maurin / Avec Quentin Coppalle flûte, flûte alto, piccolo, Catherine Delaunay clarinette, cor de basset, Jean-Michel Couchet saxophones alto et soprano, clarinette basse, Fabien Debellefontaine saxophone ténor, clarinette, Mathilde Fèvre cor, Astrid Yamada cor, Sylvian Bardiau trompette, bugle, Fabien Norbert trompette, bugle, Jessica Simon trombone, Daniel Zimmermann trombone, Didier Havet tuba, Bruno Ruder claviers, synthétiseurs, Stéphan Caracci vibraphone, marimba, glockenspiel, percussions, synthétiseur, Frédéric Maurin guitare électrique et direction, Sarah Murcia contrebasse, synthétiseur, voix, Rafaël Koerner batterie / Son Erwan Boulay, Guillaume Jay / Lumières Leslie Desvignes
Production Orchestre national de Jazz / Photo © Sylvain Gripoix

Générique


Arrangements Airelle Besson, Sylvaine Hélary, Sarah Murcia, Frédéric Maurin / Avec Quentin Coppalle flûte, flûte alto, piccolo, Catherine Delaunay clarinette, cor de basset, Jean-Michel Couchet saxophones alto et soprano, clarinette basse, Fabien Debellefontaine saxophone ténor, clarinette, Mathilde Fèvre cor, Astrid Yamada cor, Sylvian Bardiau trompette, bugle, Fabien Norbert trompette, bugle, Jessica Simon trombone, Daniel Zimmermann trombone, Didier Havet tuba, Bruno Ruder claviers, synthétiseurs, Stéphan Caracci vibraphone, marimba, glockenspiel, percussions, synthétiseur, Frédéric Maurin guitare électrique et direction, Sarah Murcia contrebasse, synthétiseur, voix, Rafaël Koerner batterie / Son Erwan Boulay, Guillaume Jay / Lumières Leslie Desvignes
Production Orchestre national de Jazz / Photo © Sylvain Gripoix

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Créé en 1986 par le ministère de la Culture, l’Orchestre National de Jazz a connu 11 directeurs musicaux, le guitariste Frédéric Maurin, dernier en date, est à la tête de l’établissement depuis 2019. Les trois compositrices invitées pour ce projet n’en sont pas à leur première collaboration avec l’ONJ. Airelle Besson, trompettiste et chef d’orchestre dont le travail est souvent comparé à celui d’Ibrahim Maalouf, Sarah Murcia, contrebassiste qu’on a pu découvrir dans le groupe Las Ondas Marteles et Sylvaine Hélary, flûtiste et spécialiste de musique improvisée, puisent chacune dans leur art pour mieux jongler avec les sonorités.

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Créé en 1986 par le ministère de la Culture, l’Orchestre National de Jazz a connu 11 directeurs musicaux, le guitariste Frédéric Maurin, dernier en date, est à la tête de l’établissement depuis 2019. Les trois compositrices invitées pour ce projet n’en sont pas à leur première collaboration avec l’ONJ. Airelle Besson, trompettiste et chef d’orchestre dont le travail est souvent comparé à celui d’Ibrahim Maalouf, Sarah Murcia, contrebassiste qu’on a pu découvrir dans le groupe Las Ondas Marteles et Sylvaine Hélary, flûtiste et spécialiste de musique improvisée, puisent chacune dans leur art pour mieux jongler avec les sonorités.


Grand Théâtre
1h15 sans entracte

  • ven. 10 février • 20H30

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