les spectacles

opération rumba
dieudonné niangouna
Du 3 au 4 déc. 25
Trappes / La Merise
Résumé
Douze comédiens et musiciens nous entraînent dans une flamboyante enquête où s’entremêlent quête des origines de la rumba, musique jouée live, légendes et grande Histoire. Mythe et réalité : les frontières s’estompent au fil de ces rythmes enivrants. Embarquez pour l’Opération Rumba !
La mission : percer le mystère des origines de deux jumeaux qui se rencontrent en France. Le voyage de Paul et Antoine, hautement rocambolesque, se confond avec l’histoire mouvementée de la rumba congolaise. Du royaume Kongo aux Caraïbes via des siècles d’esclavage, cette musique est revenue sur son territoire d’origine au milieu du XXe siècle pour participer à son émancipation. Un foisonnement de personnages fantasques et d’extravagantes péripéties ponctuent cette aventure où se succèdent à un rythme effréné tableaux musicaux, joutes verbales truculentes et drames politiques. Une fresque explosive !
Le dramaturge congolais Dieudonné Niangouna nous embarque à la découverte de la trajectoire méconnue de la rumba, qui contient en elle l’histoire de son peuple jusqu’à la reconquête de la liberté. Ses représentants les plus connus sont sans conteste Joseph Kabasele « Le Grand Kallé », père de l’hymne panafricain Indépendance Cha Cha, et, plus près de nous, Papa Wemba, icône du mouvement sapeur. Ici, ce sont les formidables Pierre Lambla et Rodriguez Vangama qui font pulser la mise en scène baroque et les textes ciselés de l’auteur. Saviez-vous que « rumba » tire son origine du mot espagnol pour « fête » ? Aucun doute, cette « Opération Rumba » s’annonce comme une sacrée fiesta !
Résumé
Douze comédiens et musiciens nous entraînent dans une flamboyante enquête où s’entremêlent quête des origines de la rumba, musique jouée live, légendes et grande Histoire. Mythe et réalité : les frontières s’estompent au fil de ces rythmes enivrants. Embarquez pour l’Opération Rumba !
La mission : percer le mystère des origines de deux jumeaux qui se rencontrent en France. Le voyage de Paul et Antoine, hautement rocambolesque, se confond avec l’histoire mouvementée de la rumba congolaise. Du royaume Kongo aux Caraïbes via des siècles d’esclavage, cette musique est revenue sur son territoire d’origine au milieu du XXe siècle pour participer à son émancipation. Un foisonnement de personnages fantasques et d’extravagantes péripéties ponctuent cette aventure où se succèdent à un rythme effréné tableaux musicaux, joutes verbales truculentes et drames politiques. Une fresque explosive !
Générique
Texte, mise en scène, scénographie Dieudonné Niangouna
Avec Marie-Charlotte Biais, Clara Chabalier, Daddy Kamono, Diariètou Keita, Mixiana Laba, Pierre Lambla, Ornella Mamba, Mathieu Montanier, Pepita Mpuhwe, Criss Niangouna, Dieudonné Niangouna et Rodriguez Vangama
Direction musicale Pierre Lambla et Rodriguez Vangama
Chorégraphie Stella Keys Ladys
Création er régie lumière Laurent Vergnaud
Création son Félix Perdreau
Régie son Pipo Gomes
Costumes Marta Rossi assistée de Charisté Monseigny, Joséphine Ugarte stagiaire costume, Camille Charlet stagiaire masque
Vidéo Aliénor Vallet
Régie générale et plateau Frédéric Pierre
Assistant à la mise en scène Bardol Migan
Production Antoine Blesson, Jason Abajo et Irène Afker
Remerciement à Clément Ossinondé
Production Compagnie Les Bruits de la Rue / Coproduction TAP Scène nationale de Grand Poitiers, Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines - Scène nationale, Théâtre de Cornouaille Scène nationale de Quimper, Scène nationale de l’Essonne / Avec l’aide du Centre National de la Musique, du Fonds SACD - Ministère de la Culture Grandes Formes Théâtre, de la SPEDIDAM et l’aide à la création de la Région Île-de-France / Avec le soutien de Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines, des Passerelles – Scène de Paris-Vallée de la Marne, des Tréteaux de France – CDN, des Bords de Scènes– Grand-Orly Seine Bièvre et de la Colline - théâtre national / La Compagnie Les Bruits de la Rue est soutenue par la DRAC Île-de-France - ministère de la Culture
Générique
Texte, mise en scène, scénographie Dieudonné Niangouna
Avec Marie-Charlotte Biais, Clara Chabalier, Daddy Kamono, Diariètou Keita, Mixiana Laba, Pierre Lambla, Ornella Mamba, Mathieu Montanier, Pepita Mpuhwe, Criss Niangouna, Dieudonné Niangouna et Rodriguez Vangama
Direction musicale Pierre Lambla et Rodriguez Vangama
Chorégraphie Stella Keys Ladys
Création er régie lumière Laurent Vergnaud
Création son Félix Perdreau
Régie son Pipo Gomes
Costumes Marta Rossi assistée de Charisté Monseigny, Joséphine Ugarte stagiaire costume, Camille Charlet stagiaire masque
Vidéo Aliénor Vallet
Régie générale et plateau Frédéric Pierre
Assistant à la mise en scène Bardol Migan
Production Antoine Blesson, Jason Abajo et Irène Afker
Remerciement à Clément Ossinondé
Production Compagnie Les Bruits de la Rue / Coproduction TAP Scène nationale de Grand Poitiers, Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines - Scène nationale, Théâtre de Cornouaille Scène nationale de Quimper, Scène nationale de l’Essonne / Avec l’aide du Centre National de la Musique, du Fonds SACD - Ministère de la Culture Grandes Formes Théâtre, de la SPEDIDAM et l’aide à la création de la Région Île-de-France / Avec le soutien de Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines, des Passerelles – Scène de Paris-Vallée de la Marne, des Tréteaux de France – CDN, des Bords de Scènes– Grand-Orly Seine Bièvre et de la Colline - théâtre national / La Compagnie Les Bruits de la Rue est soutenue par la DRAC Île-de-France - ministère de la Culture
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Originaire de Brazzaville, Dieudonné Niangouna crée la Compagnie Les Bruits de la Rue en 1997 à Pointe-Noire où il est réfugié durant la seconde guerre du Congo. Il cherche alors un théâtre qui naîtrait de ce qui l’entoure, témoignant à la fois de ce qu’il y a de brisé, de disparate et de vivace – nourri de l’énergie vive de celui que les rêves poussent à transformer le monde et déplacer le futur. Auteur, metteur en scène, acteur et pédagogue, son théâtre expose ce qu’il y a de commun entre l’expérience intérieure et la vie comme elle va et donne une forme à ce qui ne se maîtrise pas, ne se décrit pas, l’indicible intrication entre la fiction et le vécu, la vie et la mort, l’Afrique et l’Europe. Dieudonné Niangouna se fait remarquer au Festival d’Avignon en 2007 avec Attitude Clando, en 2009 avec Les Inepties volantes puis en 2013 avec Shéda. Il crée par ailleurs Le Socle des Vertiges, Le Kung Fu, Nkenguégi, Antoine m’a vendu son destin/Sony chez les chiens, Trust/Shakespeare/Alléluia, De ce côté, Portrait désir… Son travail rayonne en France, mais aussi ailleurs en Europe, en Afrique et en Amérique latine. Il est le co-fondateur en 2003 du Festival Mantsina-sur-Scène, manifestation pluridisciplinaire du spectacle vivant qui se tient chaque mois de décembre à Brazzaville, infusant la ville de propositions artistiques audacieuses, dans les salles comme dans l’espace public. En 2018, le Berliner Ensemble l’invite à écrire et monter l’un de ses textes avec la troupe du théâtre, Fantôme. Sa pièce M'appelle Mohamed Ali (Les Solitaires Intempestifs, 2014) reçoit en 2015 le Prix littéraire des apprentis et lycéens d'Île-de-France. L'Académie Française lui remet en 2021 le Prix du Jeune Théâtre Béatrix Dussane-André Roussin pour l'ensemble de son oeuvre dramatique. Dieudonné Niangouna écrit aussi des romans, publiés aux éditions L’oeil d’or. Il reçoit le Grand Prix Afrique Avant-Garde 2023 pour son roman La mise en papa (L’oeil d’or, 2023). Il public aussi en 2021 un recueil de poésie Rêve en carton aux éditions Project'îles. Ses textes dramatiques sont publiés aux éditions Les Solitaires Intempestifs et Carnets-Livre.
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Originaire de Brazzaville, Dieudonné Niangouna crée la Compagnie Les Bruits de la Rue en 1997 à Pointe-Noire où il est réfugié durant la seconde guerre du Congo. Il cherche alors un théâtre qui naîtrait de ce qui l’entoure, témoignant à la fois de ce qu’il y a de brisé, de disparate et de vivace – nourri de l’énergie vive de celui que les rêves poussent à transformer le monde et déplacer le futur. Auteur, metteur en scène, acteur et pédagogue, son théâtre expose ce qu’il y a de commun entre l’expérience intérieure et la vie comme elle va et donne une forme à ce qui ne se maîtrise pas, ne se décrit pas, l’indicible intrication entre la fiction et le vécu, la vie et la mort, l’Afrique et l’Europe. Dieudonné Niangouna se fait remarquer au Festival d’Avignon en 2007 avec Attitude Clando, en 2009 avec Les Inepties volantes puis en 2013 avec Shéda. Il crée par ailleurs Le Socle des Vertiges, Le Kung Fu, Nkenguégi, Antoine m’a vendu son destin/Sony chez les chiens, Trust/Shakespeare/Alléluia, De ce côté, Portrait désir… Son travail rayonne en France, mais aussi ailleurs en Europe, en Afrique et en Amérique latine. Il est le co-fondateur en 2003 du Festival Mantsina-sur-Scène, manifestation pluridisciplinaire du spectacle vivant qui se tient chaque mois de décembre à Brazzaville, infusant la ville de propositions artistiques audacieuses, dans les salles comme dans l’espace public. En 2018, le Berliner Ensemble l’invite à écrire et monter l’un de ses textes avec la troupe du théâtre, Fantôme. Sa pièce M'appelle Mohamed Ali (Les Solitaires Intempestifs, 2014) reçoit en 2015 le Prix littéraire des apprentis et lycéens d'Île-de-France. L'Académie Française lui remet en 2021 le Prix du Jeune Théâtre Béatrix Dussane-André Roussin pour l'ensemble de son oeuvre dramatique. Dieudonné Niangouna écrit aussi des romans, publiés aux éditions L’oeil d’or. Il reçoit le Grand Prix Afrique Avant-Garde 2023 pour son roman La mise en papa (L’oeil d’or, 2023). Il public aussi en 2021 un recueil de poésie Rêve en carton aux éditions Project'îles. Ses textes dramatiques sont publiés aux éditions Les Solitaires Intempestifs et Carnets-Livre.