les spectacles

somewhere
lidija et sanja bizjak
mar. 14 févr. 23
Grand Théâtre
Résumé
En rendant hommage aux compositeurs du continent américain qui ont marqué le XXe siècle, les soeurs Bizjak nous livrent, dans des arrangements pour 2 pianos, des œuvres souvent rendues célèbres par le cinéma et les musiques populaires.
Classée parmi les 100 plus grandes chansons du cinéma américain, Somewhere, qui prête son nom au programme, est issue de l’indémodable comédie musicale West Side Story, qui doit autant son succès au compositeur Leonard Bernstein, qu’à Jerome Robbins (son chorégraphe) et Robert Wise (son réalisateur).
Inspirés des musiques européennes, les compositeurs américains ont éclaboussé de leur talent la scène musicale du monde entier dans la seconde moitié du XXe siècle, grâce à leur capacité à intégrer des éléments des musiques populaires dans leurs œuvres. C’est le cas pour Copland, Barber et surtout pour William Bolcom, dont les compositions sont truffées de « musiques du coin de la rue ». Dans ce jeu d’allers-retours entre savant et populaire, le jazz lui-même s’est amusé à transformer la quasi-totalité du répertoire de Gerswhin en musique de danse. Et c’est de danse dont il sera encore question dans ce voyage musical qui nous conduira jusqu’au Libertango d’Astor Piazzolla.
Résumé
En rendant hommage aux compositeurs du continent américain qui ont marqué le XXe siècle, les soeurs Bizjak nous livrent, dans des arrangements pour 2 pianos, des œuvres souvent rendues célèbres par le cinéma et les musiques populaires.
Classée parmi les 100 plus grandes chansons du cinéma américain, Somewhere, qui prête son nom au programme, est issue de l’indémodable comédie musicale West Side Story, qui doit autant son succès au compositeur Leonard Bernstein, qu’à Jerome Robbins (son chorégraphe) et Robert Wise (son réalisateur).
Inspirés des musiques européennes, les compositeurs américains ont éclaboussé de leur talent la scène musicale du monde entier dans la seconde moitié du XXe siècle, grâce à leur capacité à intégrer des éléments des musiques populaires dans leurs œuvres. C’est le cas pour Copland, Barber et surtout pour William Bolcom, dont les compositions sont truffées de « musiques du coin de la rue ». Dans ce jeu d’allers-retours entre savant et populaire, le jazz lui-même s’est amusé à transformer la quasi-totalité du répertoire de Gerswhin en musique de danse. Et c’est de danse dont il sera encore question dans ce voyage musical qui nous conduira jusqu’au Libertango d’Astor Piazzolla.
Générique
Avec Lidija et Sanja Bizjak piano
Photo © Marco Borggreve
Générique
Avec Lidija et Sanja Bizjak piano
Photo © Marco Borggreve
En savoir plus
Les deux sœurs solistes Bisjak ont un destin très proche malgré les douze années qui les séparent. Originaires de Belgrade, elles sont d’abord formées au Conservatoire de Belgrade puis au Conservatoire Supérieur de Musique et de Danse de Paris. Elles créent leur duo sur la proposition du directeur de la Philharmonie de Belgrade qui les accueille pour un premier concert en 2002, elles sont alors âgées de 14 et 26 ans. Elles enchaînent depuis des tournées internationales et s’imposent avec virtuosité sur la scène musicale contemporaine.
En savoir plus
Les deux sœurs solistes Bisjak ont un destin très proche malgré les douze années qui les séparent. Originaires de Belgrade, elles sont d’abord formées au Conservatoire de Belgrade puis au Conservatoire Supérieur de Musique et de Danse de Paris. Elles créent leur duo sur la proposition du directeur de la Philharmonie de Belgrade qui les accueille pour un premier concert en 2002, elles sont alors âgées de 14 et 26 ans. Elles enchaînent depuis des tournées internationales et s’imposent avec virtuosité sur la scène musicale contemporaine.