archive de spectacles

faro faro
massidi adiatou, cie n’soleh
Du 15 au 16 oct. 20
Grand Théâtre
Sur une scène transformée en ring de boxe, dix danseurs ivoiriens enchaînent coupé-décalé, break dance, arts martiaux, acrobaties et danses traditionnelles africaines. Un spectacle au rythme endiablé !
Ils portent des costumes de maîtres Kung-fu, de motards ou de jet-setters en talons hauts. Le gong retentit, et la bataille commence, recréant l’atmosphère fiévreuse des rues d’Abidjan. Le chorégraphe ivoirien Massidi Adiatou s’entoure ici de jeunes danseurs repérés dans les quartiers populaires de la capitale. Rassemblé autour du ring, le public participe joyeusement à cette incroyable démonstration de frime dansante !
Avec ce spectacle haut en rythmes et en couleurs, Massidi Adiatou bouscule les codes de la danse contemporaine. Fidèle aux scènes que l’on peut apercevoir chaque jour dans les rues chaudes de la banlieue de Yopougon, Faro Faro mélange les genres, libère les corps, et fait la part belle à l’improvisation. Ensemble, ces 10 danseurs forment la compagnie N’Soleh, composée de « jeunes qui dansaient dans la rue, en Côte d’Ivoire, mais maintenant, c’est la danse de rue qui les fait vivre » affirme le chorégraphe. Une joute chorégraphique de haute volée, qui se double d’une déclaration d’amour aux danses urbaines.
Ils portent des costumes de maîtres Kung-fu, de motards ou de jet-setters en talons hauts. Le gong retentit, et la bataille commence, recréant l’atmosphère fiévreuse des rues d’Abidjan. Le chorégraphe ivoirien Massidi Adiatou s’entoure ici de jeunes danseurs repérés dans les quartiers populaires de la capitale. Rassemblé autour du ring, le public participe joyeusement à cette incroyable démonstration de frime dansante !
Avec ce spectacle haut en rythmes et en couleurs, Massidi Adiatou bouscule les codes de la danse contemporaine. Fidèle aux scènes que l’on peut apercevoir chaque jour dans les rues chaudes de la banlieue de Yopougon, Faro Faro mélange les genres, libère les corps, et fait la part belle à l’improvisation. Ensemble, ces 10 danseurs forment la compagnie N’Soleh, composée de « jeunes qui dansaient dans la rue, en Côte d’Ivoire, mais maintenant, c’est la danse de rue qui les fait vivre » affirme le chorégraphe. Une joute chorégraphique de haute volée, qui se double d’une déclaration d’amour aux danses urbaines.
Sur une scène transformée en ring de boxe, dix danseurs ivoiriens enchaînent coupé-décalé, break dance, arts martiaux, acrobaties et danses traditionnelles africaines. Un spectacle au rythme endiablé !
Ils portent des costumes de maîtres Kung-fu, de motards ou de jet-setters en talons hauts. Le gong retentit, et la bataille commence, recréant l’atmosphère fiévreuse des rues d’Abidjan. Le chorégraphe ivoirien Massidi Adiatou s’entoure ici de jeunes danseurs repérés dans les quartiers populaires de la capitale. Rassemblé autour du ring, le public participe joyeusement à cette incroyable démonstration de frime dansante !
Avec ce spectacle haut en rythmes et en couleurs, Massidi Adiatou bouscule les codes de la danse contemporaine. Fidèle aux scènes que l’on peut apercevoir chaque jour dans les rues chaudes de la banlieue de Yopougon, Faro Faro mélange les genres, libère les corps, et fait la part belle à l’improvisation. Ensemble, ces 10 danseurs forment la compagnie N’Soleh, composée de « jeunes qui dansaient dans la rue, en Côte d’Ivoire, mais maintenant, c’est la danse de rue qui les fait vivre » affirme le chorégraphe. Une joute chorégraphique de haute volée, qui se double d’une déclaration d’amour aux danses urbaines.
Ils portent des costumes de maîtres Kung-fu, de motards ou de jet-setters en talons hauts. Le gong retentit, et la bataille commence, recréant l’atmosphère fiévreuse des rues d’Abidjan. Le chorégraphe ivoirien Massidi Adiatou s’entoure ici de jeunes danseurs repérés dans les quartiers populaires de la capitale. Rassemblé autour du ring, le public participe joyeusement à cette incroyable démonstration de frime dansante !
Avec ce spectacle haut en rythmes et en couleurs, Massidi Adiatou bouscule les codes de la danse contemporaine. Fidèle aux scènes que l’on peut apercevoir chaque jour dans les rues chaudes de la banlieue de Yopougon, Faro Faro mélange les genres, libère les corps, et fait la part belle à l’improvisation. Ensemble, ces 10 danseurs forment la compagnie N’Soleh, composée de « jeunes qui dansaient dans la rue, en Côte d’Ivoire, mais maintenant, c’est la danse de rue qui les fait vivre » affirme le chorégraphe. Une joute chorégraphique de haute volée, qui se double d’une déclaration d’amour aux danses urbaines.
Chorégraphie Massidi Adiatou / Avec Mariama Adiatu, Amankon Alex Jordan Adou, David Martial Azokou, Media Thie Bakayoko, Zlangnan Sandrine Bieu, Bamoussa Diomande, Gnahoua Christ-Junior Dogbole, Joulkanaya Kiebre, Jean-Luc Stéphane Tehe / Musiciens Seydou Kienou, percussionniste, Assouman Francis N’Guessan, dj / Assistant régisseur général Ferdinand Irie / Régisseur lumière Sam Bapes
Administrateur de tournée Patrick Gufflet / Production Compagnie N’SOLEH / Avec le soutien de OIF, Organisation internationale de la Francophonie, Institut français de Côte d’Ivoire, MASA, Marché des Arts du Spectacle d’Abidjan, Goethe Institut d’Abidjan, Ministère de la Culture et de la Francophonie de Côte d’Ivoire. © Laurent Diby
Administrateur de tournée Patrick Gufflet / Production Compagnie N’SOLEH / Avec le soutien de OIF, Organisation internationale de la Francophonie, Institut français de Côte d’Ivoire, MASA, Marché des Arts du Spectacle d’Abidjan, Goethe Institut d’Abidjan, Ministère de la Culture et de la Francophonie de Côte d’Ivoire. © Laurent Diby
Chorégraphie Massidi Adiatou / Avec Mariama Adiatu, Amankon Alex Jordan Adou, David Martial Azokou, Media Thie Bakayoko, Zlangnan Sandrine Bieu, Bamoussa Diomande, Gnahoua Christ-Junior Dogbole, Joulkanaya Kiebre, Jean-Luc Stéphane Tehe / Musiciens Seydou Kienou, percussionniste, Assouman Francis N’Guessan, dj / Assistant régisseur général Ferdinand Irie / Régisseur lumière Sam Bapes
Administrateur de tournée Patrick Gufflet / Production Compagnie N’SOLEH / Avec le soutien de OIF, Organisation internationale de la Francophonie, Institut français de Côte d’Ivoire, MASA, Marché des Arts du Spectacle d’Abidjan, Goethe Institut d’Abidjan, Ministère de la Culture et de la Francophonie de Côte d’Ivoire. © Laurent Diby
Administrateur de tournée Patrick Gufflet / Production Compagnie N’SOLEH / Avec le soutien de OIF, Organisation internationale de la Francophonie, Institut français de Côte d’Ivoire, MASA, Marché des Arts du Spectacle d’Abidjan, Goethe Institut d’Abidjan, Ministère de la Culture et de la Francophonie de Côte d’Ivoire. © Laurent Diby
Installé à Abidjan, le chorégraphe d’origine nigériane Massidi Adiatou fonde en 1990 la compagnie N’Soleh. Ensemble, ils créent un univers chorégraphique unique, mélange de danses urbaines et de scénographies originales.
Installé à Abidjan, le chorégraphe d’origine nigériane Massidi Adiatou fonde en 1990 la compagnie N’Soleh. Ensemble, ils créent un univers chorégraphique unique, mélange de danses urbaines et de scénographies originales.
Grand Théâtre
1h sans entracte
1h sans entracte
-
jeu. 15 octobre • 20H30
-
ven. 16 octobre • 20H30