les spectacles
ce qu’on entend dans l’enfer, le purgatoire, le paradis
célia oneto bensaid, marie jaëll
mar. 12 mars 24
Guyancourt / La Batterie
Résumé
Pianiste curieuse et engagée dans la (re)découverte du répertoire féminin, Célia Oneto Bensaid explore le cycle dantesque de la compositrice romantique Marie Jaëll. Une grande fresque exaltante !
César Franck, Gabriel Fauré ou Camille Saint-Saëns… Le talent de Marie Jaëll, compositrice visionnaire et grande pianiste, est reconnu par ses pairs. Amie proche de Franz Liszt, dont elle sera la secrétaire à la fin de sa vie, elle tombe hélas dans l’oubli au tournant du XXe siècle. La pianiste virtuose Célia Oneto Bensaid s’empare avec fougue et générosité des 18 Pièces pour piano d’après la lecture de Dante, chef-d’œuvre dont la durée (plus d’une heure de musique), comme les exigences techniques, constituent de véritables défis pour son interprète et témoignent de la sophistication de l’écriture de Marie Jaëll. Ce triptyque fascinant inspiré de La Divine Comédie de Dante, passant d’une explosion d’images terrifiantes (L’Enfer) à un sentiment de plénitude (Le Paradis), est restitué de manière extrêmement vive par une brillante interprète.
Résumé
Pianiste curieuse et engagée dans la (re)découverte du répertoire féminin, Célia Oneto Bensaid explore le cycle dantesque de la compositrice romantique Marie Jaëll. Une grande fresque exaltante !
César Franck, Gabriel Fauré ou Camille Saint-Saëns… Le talent de Marie Jaëll, compositrice visionnaire et grande pianiste, est reconnu par ses pairs. Amie proche de Franz Liszt, dont elle sera la secrétaire à la fin de sa vie, elle tombe hélas dans l’oubli au tournant du XXe siècle. La pianiste virtuose Célia Oneto Bensaid s’empare avec fougue et générosité des 18 Pièces pour piano d’après la lecture de Dante, chef-d’œuvre dont la durée (plus d’une heure de musique), comme les exigences techniques, constituent de véritables défis pour son interprète et témoignent de la sophistication de l’écriture de Marie Jaëll. Ce triptyque fascinant inspiré de La Divine Comédie de Dante, passant d’une explosion d’images terrifiantes (L’Enfer) à un sentiment de plénitude (Le Paradis), est restitué de manière extrêmement vive par une brillante interprète.
Générique
Musique Marie Jaëll
Avec Célia Oneto Bensaid piano
Photo Capucine de Chocqueuese
Générique
Musique Marie Jaëll
Avec Célia Oneto Bensaid piano
Photo Capucine de Chocqueuese
En savoir plus
Artiste sincère et engagée, Célia Oneto Bensaid façonne un parcours à son image, mettant en lumière un répertoire particulier, signature de cette pianiste qui développe sa singularité et sort volontiers des sentiers battus. Côté formation, elle sort du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris avec cinq prix obtenus avec les meilleures distinctions dans les classes de piano, de musique de chambre ainsi que les trois classes d’accompagnement. Elle rejoint ensuite l’École Normale Alfred Cortot où elle obtient le diplôme supérieur de concertiste.
C’est aujourd’hui sur les plus grandes scènes, en solo, en musique de chambre et en concerto, que Célia choisit avec soin les répertoires qu’elle défend : la musique américaine (comprenant ses propres transcriptions), la musique française, la musique d’aujourd’hui, et de compositrices y tiennent une place importante dans ses programmes. Elle collabore et crée ainsi de nombreuses pièces dont elle est dédicataire pour certaines de David Hudry, Kaija Saariaho, Diana Syrse, Camille Pépin, Fabien Waksman et fait partie des artistes les plus engagées dans la redécouverte du Matrimoine musical.
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Artiste sincère et engagée, Célia Oneto Bensaid façonne un parcours à son image, mettant en lumière un répertoire particulier, signature de cette pianiste qui développe sa singularité et sort volontiers des sentiers battus. Côté formation, elle sort du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris avec cinq prix obtenus avec les meilleures distinctions dans les classes de piano, de musique de chambre ainsi que les trois classes d’accompagnement. Elle rejoint ensuite l’École Normale Alfred Cortot où elle obtient le diplôme supérieur de concertiste.
C’est aujourd’hui sur les plus grandes scènes, en solo, en musique de chambre et en concerto, que Célia choisit avec soin les répertoires qu’elle défend : la musique américaine (comprenant ses propres transcriptions), la musique française, la musique d’aujourd’hui, et de compositrices y tiennent une place importante dans ses programmes. Elle collabore et crée ainsi de nombreuses pièces dont elle est dédicataire pour certaines de David Hudry, Kaija Saariaho, Diana Syrse, Camille Pépin, Fabien Waksman et fait partie des artistes les plus engagées dans la redécouverte du Matrimoine musical.
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mar. 12 mars• 20H30